Je suis profondément reconnaissant à l'administrateur d'avoir ouvert ce nouveau sujet que je crois d'une importance extrême, capitale, pour notre époque et les temps qui viennent. C'est un sujet que je crois assez bien connaitre depuis 1978, particulièrement à cause de mon métier et grâce à mes admirables Maîtres. Cependant je regrette vivement que la grande majorité des personnes s'arrêtent sur la question strictement scientifique, toujours disputée de nos jours, de l'authenticité de cette Relique Insigne (pour moi, elle est acquise, scientifiquement). Est ainsi mise de côté ou laissée aux charlatans la question beaucoup plus importante et considérable, de la signification eschatologique et mystique de cette Relique inouie, telle que l'histoire n'en a jamais connue et n'en connaitra plus jamais. Il y aura donc beaucoup à dire et à échanger...
4 participants
Le Saint Suaire de Turin
CatholiquedeFrance- Messages : 278
Date d'inscription : 14/02/2012
Age : 71
Localisation : Nord de la France
- Message n°1
Le Saint Suaire de Turin
Admin- Admin
- Messages : 1169
Date d'inscription : 19/11/2011
- Message n°2
Re: Le Saint Suaire de Turin
Absolument cher ami ! Il y aura sans doute beaucoup en effet à dire sur ce merveilleux cadeau de DIEU, la preuve de la Résurrection de notre Seigneur
Reda-A- Messages : 20
Date d'inscription : 28/02/2012
Age : 32
- Message n°3
Re: Le Saint Suaire de Turin
" Alors les hommes entourèrent tout le reste du corps
d'aromates, croisèrent sur son sein ses bras raidis, et serrèrent le
grand drap blanc autour du corps jusqu'à la poitrine. Alors ayant
assujéti sous l'aisselle l'extrémité d'une large bandelette, ils la
roulèrent autour de la tête et autour de tout le corps. Enfin ils
placèrent le Sauveur sur le grand drap de six aunes qu'avait acheté
Joseph d'Arimathie et l'y enveloppèrent ; il y était couché en
diagonale ; un coin du drap était relevé des pieds à la poitrine,
l'autre revenait sur la tête et les épaules ; les deux autres étaient
repliés autour du corps. Comme tous entouraient le corps de Jésus et
s'agenouillaient autour de lui pour lui faire leurs adieux, un touchant
miracle s'opéra à leurs yeux. Le corps sacré de Jésus, avec ses
blessures, apparut représenté sur le drap qui le couvrait, comme s'il
avait voulu récompenser leurs soins et leur amour et leur laisser son
portait à travers tous les voiles dont il était enveloppé. Ils
embrassaient le corps en pleurant et baisèrent avec respect sa
merveilleuse empreinte : leur étonnement s'accrut encore lorsqu'en
soulevant le drap ils virent toutes les bandelettes qui liaient le
corps blanches comme auparavant, et le drap supérieur ayant seul reçu
cette miraculeuse image. Ce n'était pas l'empreinte de blessures
saignantes puisque tout le corps était enveloppé et couvert d'aromates
; c'était un portrait surnaturel, un témoignage de la divinité
créatrice résidant toujours dans le corps de Jésus."
Extrait des visions de Anne Catherine Emmerich qui en disent long
d'aromates, croisèrent sur son sein ses bras raidis, et serrèrent le
grand drap blanc autour du corps jusqu'à la poitrine. Alors ayant
assujéti sous l'aisselle l'extrémité d'une large bandelette, ils la
roulèrent autour de la tête et autour de tout le corps. Enfin ils
placèrent le Sauveur sur le grand drap de six aunes qu'avait acheté
Joseph d'Arimathie et l'y enveloppèrent ; il y était couché en
diagonale ; un coin du drap était relevé des pieds à la poitrine,
l'autre revenait sur la tête et les épaules ; les deux autres étaient
repliés autour du corps. Comme tous entouraient le corps de Jésus et
s'agenouillaient autour de lui pour lui faire leurs adieux, un touchant
miracle s'opéra à leurs yeux. Le corps sacré de Jésus, avec ses
blessures, apparut représenté sur le drap qui le couvrait, comme s'il
avait voulu récompenser leurs soins et leur amour et leur laisser son
portait à travers tous les voiles dont il était enveloppé. Ils
embrassaient le corps en pleurant et baisèrent avec respect sa
merveilleuse empreinte : leur étonnement s'accrut encore lorsqu'en
soulevant le drap ils virent toutes les bandelettes qui liaient le
corps blanches comme auparavant, et le drap supérieur ayant seul reçu
cette miraculeuse image. Ce n'était pas l'empreinte de blessures
saignantes puisque tout le corps était enveloppé et couvert d'aromates
; c'était un portrait surnaturel, un témoignage de la divinité
créatrice résidant toujours dans le corps de Jésus."
Extrait des visions de Anne Catherine Emmerich qui en disent long
patrick58- Messages : 158
Date d'inscription : 24/11/2011
- Message n°4
Re: Le Saint Suaire de Turin
Merci Reda ! Supers les visions de A.K Emmerick, qui se confirment par les études faites sur le Saint Suaire.