- Le pape Benoît XVI a canonisé dimanche sept nouveaux saints, dont une Indienne Mohawk ayant vécu au XVIIe siècle qui devient la première sainte amérindienne de l'Eglise catholique.
Plusieurs milliers de pèlerins venus du monde entier ont assisté à la cérémonie, sur la place Saint-Pierre, parmi lesquels plusieurs centaines d'Amérindiens qui avaient fait le déplacement depuis les Etats-Unis, certains portant des coiffes en plumes.
Kateri Tekakwitha, une jeune Indienne née en 1656 de père mohawk et de mère algonquin dans l'actuel Etat de New York, s'est convertie au catholicisme à l'âge de vingt ans. A sa mort, quatre ans plus tard, des témoins ont affirmé que les cicatrices qui marquaient son visage depuis qu'elle avait contracté la variole s'étaient effacées. D'autres ont dit avoir eu des visions de la jeune indienne après sa mort.
Le Vatican lui attribue la guérison miraculeuse d'un jeune Amérindien aujourd'hui âgé de douze ans, qui était dimanche au Vatican.
"Sainte Kateri, protectrice du Canada et première sainte amérindienne, nous te confions le renouveau de la foi dans les Premières Nations et dans toute l'Amérique du Nord! Que Dieu bénisse les Premières Nations!", a lancé le chef de l'Eglise catholique dans son homélie.
Sur les 2,5 millions de "Native Americans" vivant aujourd'hui aux Etats-Unis, on estime que 680.000 sont de confession catholique, un héritage du travail d'évangélisation des missionnaires venus d'Europe.
Le jésuite français Jacques Berthieu, le prêtre italien Giovanni Battista Piamarta, la religieuse espagnole Carmen Salles y Barangueras ainsi que le missionnaire philippin Pedro Calungsod et deux Allemandes, Anna Schäffer et Marianne Cope, ont également été canonisés.
Cinq des sept saints canonisés dimanche ont joué un rôle à travers l'histoire dans les missions d'évangélisation de l'Eglise catholique, un signe alors que, cinquante ans après le concile de Vatican II, le Saint-Siège a lancé une campagne de "Nouvelle évangélisation" à travers les pays développés, où la foi et la pratique sont en chute libre.
Plusieurs milliers de pèlerins venus du monde entier ont assisté à la cérémonie, sur la place Saint-Pierre, parmi lesquels plusieurs centaines d'Amérindiens qui avaient fait le déplacement depuis les Etats-Unis, certains portant des coiffes en plumes.
Kateri Tekakwitha, une jeune Indienne née en 1656 de père mohawk et de mère algonquin dans l'actuel Etat de New York, s'est convertie au catholicisme à l'âge de vingt ans. A sa mort, quatre ans plus tard, des témoins ont affirmé que les cicatrices qui marquaient son visage depuis qu'elle avait contracté la variole s'étaient effacées. D'autres ont dit avoir eu des visions de la jeune indienne après sa mort.
Le Vatican lui attribue la guérison miraculeuse d'un jeune Amérindien aujourd'hui âgé de douze ans, qui était dimanche au Vatican.
"Sainte Kateri, protectrice du Canada et première sainte amérindienne, nous te confions le renouveau de la foi dans les Premières Nations et dans toute l'Amérique du Nord! Que Dieu bénisse les Premières Nations!", a lancé le chef de l'Eglise catholique dans son homélie.
Sur les 2,5 millions de "Native Americans" vivant aujourd'hui aux Etats-Unis, on estime que 680.000 sont de confession catholique, un héritage du travail d'évangélisation des missionnaires venus d'Europe.
Le jésuite français Jacques Berthieu, le prêtre italien Giovanni Battista Piamarta, la religieuse espagnole Carmen Salles y Barangueras ainsi que le missionnaire philippin Pedro Calungsod et deux Allemandes, Anna Schäffer et Marianne Cope, ont également été canonisés.
Cinq des sept saints canonisés dimanche ont joué un rôle à travers l'histoire dans les missions d'évangélisation de l'Eglise catholique, un signe alors que, cinquante ans après le concile de Vatican II, le Saint-Siège a lancé une campagne de "Nouvelle évangélisation" à travers les pays développés, où la foi et la pratique sont en chute libre.