Sujet: Re: Les noces de Cana Mer 20 Jan 2010, 10:53
Arnaud Dumouch a écrit: L'appel au célibat consacré à Dieu est réservé à ceux qui "comprennent". Cet appel, réservé à peu de monde, n'est donc pas à opposer à la bénédiction du mariage !
Je suis désolé, si on suit le texte, c'est le mariage qui est réservé à ceux qui comprennent : [Mt 19 sq]
réponse d'a. Dumouch :
Commentaire :
Arnaud Dumouch a écrit: L'appel au célibat consacré à Dieu est réservé à ceux qui "comprennent". Cet appel, réservé à peu de monde, n'est donc pas à opposer à la bénédiction du mariage !
Je suis désolé, si on suit le texte, c'est le mariage qui est réservé à ceux qui comprennent : [Mt 19 sq]
réponse d'a. Dumouch :
C'est l'INDISSOLUBILITE DU MARIAGE, quoiqu'il arrive, qui est réservé à ceux qui comprennent. Car, comme le célibat consacré, cette vocation là implique NÉCESSAIREMENT la grâce.
Selon les lois NATURELLES du mariage, si l'un des deux trahit et s'en va, l'autre est libre car l'alliance (qui implique DEUX "oui" est rompue.
Commentaire :
C’est l’enseignement de Benoît XIV,
qui affirme que le mariage, au simple point de vue naturel, doit de toute convenance, soit pour l’éducation des enfants, soit pour conserver les autres biens, être perpétuel et indissoluble.
Matrimonii fœdus a Deo institutum, quod et quatenus naturæ officium est, pro educandæ prolis studio, aliisque matrimonii bonis servandis, perpetuum et indissolubile esse convenit. Const. Dei miseratione, § 1.
C’est l’enseignement de Pie VI :
le mariage, qui avant Jésus-Christ était indissoluble, est devenu, après Jésus-Christ, l’un des sept sacrements.
Dogma fidei est, ut matrimonium, quod ante adventum Christi nihil aliud erat nisi indissolubilis quidam contractus, illus post Christi adventum evaserit unum ex septem legis evangelicæ sacramentis.
Epist. ad episc. Motulen., 16 septembre 1788.
C’est celui de Pie IX
qui insérait dans le Syllabus des propositions condamnées la proposition suivante : « De droit naturel le mariage n’est pas indissoluble » n. 67.
C’est celui que rappelait Léon XIII
à toutes les pages de l’encyclique Arcanum. Et selon Benoît XIV, Quæst. canon., q DLXVI, § 33, l’indissolubilité appartient de droit naturel non seulement au mariage consommé, mais au mariage non-consommé des non-baptisés.
qui affirme que le mariage, au simple point de vue naturel, doit de toute convenance, soit pour l’éducation des enfants, soit pour conserver les autres biens, être perpétuel et indissoluble.
Matrimonii fœdus a Deo institutum, quod et quatenus naturæ officium est, pro educandæ prolis studio, aliisque matrimonii bonis servandis, perpetuum et indissolubile esse convenit. Const. Dei miseratione, § 1.
C’est l’enseignement de Pie VI :
le mariage, qui avant Jésus-Christ était indissoluble, est devenu, après Jésus-Christ, l’un des sept sacrements.
Dogma fidei est, ut matrimonium, quod ante adventum Christi nihil aliud erat nisi indissolubilis quidam contractus, illus post Christi adventum evaserit unum ex septem legis evangelicæ sacramentis.
Epist. ad episc. Motulen., 16 septembre 1788.
C’est celui de Pie IX
qui insérait dans le Syllabus des propositions condamnées la proposition suivante : « De droit naturel le mariage n’est pas indissoluble » n. 67.
C’est celui que rappelait Léon XIII
à toutes les pages de l’encyclique Arcanum. Et selon Benoît XIV, Quæst. canon., q DLXVI, § 33, l’indissolubilité appartient de droit naturel non seulement au mariage consommé, mais au mariage non-consommé des non-baptisés.
DTC divorce http://jesusmarie.free.fr/DTC_Divorce.html